Né en 1963 en Bulgarie. En 1976, son oncle, le peintre M. MANEV, l’initie aux arts plastiques et lui transmet sa passion de l’art. Il intègre le lycée d’art de Kazanlak. En 1982, il obtient avec les honneurs son Baccalauréat d’Arts Plastiques et Histoire de l’Art.
Né en 1963 en Bulgarie. En 1976, son oncle, le peintre M. MANEV, l’initie aux arts plastiques et lui transmet sa passion de l’art. Il intègre le lycée d’art de Kazanlak. En 1982, il obtient avec les honneurs son Baccalauréat d’Arts Plastiques et Histoire de l’Art.
Il intègre ensuite après concours, l’École des Beaux-Arts de Sofia (Bulgarie) où il est reçu major de sa promotion. En 1985, il intègre l’Académie des Beaux-Arts de Prague, une des plus grandes et difficiles académies de l’Europe de l’Est. Il en sortira diplômé en 1990, avec un titre de « sculpteur académique ». Peu de temps après, JIVKO expose ses premières sculptures à Prague. En 1990, il fait cap sur Paris. Malgré les oppositions et refus des autorités bulgares, l’École des Beaux-Arts de Paris lui accorde une bourse et l’héberge à la Cité des Arts pendant un an. Le rêve de JIVKO d’étudier en France se réalise alors. Dès 1991, il commence un grand parcours d’expositions en France, toutes ses œuvres sont très inspirées par la mythologie et ses origines, deux constantes qui ne le quitteront plus. En 1992 il obtient la bourse de l’Association RENOIR. Il est invité à travailler six mois dans l’atelier du peintre Pierre Auguste RENOIR. Il fait la connaissance de Maya PICASSO, fille du peintre Pablo PICASSO, qui l’honorera de sa présence et de son soutien à toutes les grandes expositions parisiennes. Son succès est depuis, au rendez-vous…Les prix et distinctions dont il a bénéficié tout au long de sa jeune carrière sont nombreux. Depuis plusieurs années, des œuvres monumentales, des mobiliers d’artiste en bronze ainsi que des dessins sur toile et papier sont venus s’ajouter à sa statuaire initiale. Une œuvre aboutie et complète.
« …Je fais toutes mes sculptures en cire d’abeille… Je n’en ai pas besoin de beaucoup parce que je fais seulement « le mur ». Mes sculptures ne sont jamais pleines … Quand je commence une œuvre, j’ai déjà une idée très précise de la sculpture elle-même. La technique que j’ai est telle que l’on ne peut pas beaucoup modifier le résultat final. Donc, il faut être sûr de soi. La sculpture en cire va ensuite à la fonderie. La fonderie remplace la cire par le bronze. Et moi, à la fin, je retravaille le bronze. »
« … J’ai eu le Prix de la Fondation de France, celui de l’Académie française. Cela récompensait toute mon œuvre d’alors, et surtout cela m’encourageait à continuer ! C’est très positif lorsqu’on est jeune, et que l’on éprouve le besoin de recueillir toutes sortes d’encouragements… »